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Contexte
Il y a de cela très longtemps, dans les temps oubliés par la civilisation d'aujourd'hui, vivaient deux races ; les humains et les hybrides. Contrairement à ce que vous pensez et à ce que les scientifiques affirment, les hybrides ne sont pas leurs créatures. Seul les animorphes, créature animale humanoïde qui ne peut prendre forme humaine, le sont. La paix et l'harmonie régnaient en maîtres sur ces terres paisibles qui n'avaient jamais connus la guerre ni le désespoir. Toutefois, cette utopie n'empêcha pas la curiosité des scientifiques de s'accroître considérablement et malheureusement, ils ne s'attendaient pas à ce que leurs recherches prennent un tournant désastreux.

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 « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬

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T'Ien-Khuan Wu

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MessageSujet: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ EmptyLun 29 Oct 2012 - 17:07

    « Fais moi un enfant. ♥ »

    « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ Tumblrlvyxhealm21qjw9qt


    Ça faisait plusieurs jours qu'il traînait comme une âme en peine, espérant un jour recroiser son jumeau par hasard. Il espérait qu'encore une fois le hasard joue en sa faveur, mais ce n'était pas possible que cela se fasse autant n'est-ce pas ? Il avait eu bien trop de chances, tellement qu'il n'en aurait plus pendant des années durant. Pourtant, il osait espérait en avoir encore un peu, rien que pour dissiper ce mal entendu avec son jumeau, pour régler ses problèmes... Comme tellement de personnes à vrai dire. Oui, c'est ça. Il était dans une situation identique à tellement d'autres que, il ne voyait pas pourquoi lui il en aurait de la chance, et pas les autres. Mais... L’espoir faite vivre. Alors, il espérait. C'est tout. Tel l'être idiot qu'il est.

    Il avait aujourd'hui décidé de laisser ses cheveux au vent, le bleu caressant ses hanches dans une douce danse, suivant ses pas au fur et à mesure qu'il avançait. Aujourd'hui, il n'avait rien à faire. Alors, il avait décidé de partir se balader en forêt ; ici il était sûr de s sentir seul, de pouvoir réfléchir. C'était tellement pratique d'avoir en bordure de la ville une douce forêt... Un endroit où l'on peut réfléchir dans le calme, le silence... Malheureusement, il n'aime pas ça, le silence. Parce que c'est oppressant. Il a l'impression de vivre dans le silence. A présent, il se dit que sa vie n'eut été que tissus de mensonges et silences malsains. C'est un peu la vérité après tout... Depuis ce rendez-vous au parc, la première page du dossier ne cessait de lui revenir en pleine face, le faisant par moment cauchemarder, l'empêchant de s'endormir, lui tordant les méninges. Il n'avait toujours pas trouvé le moyen d'en parler ; il n'était même pas sûr de le faire un jour, le courage se dérobant tout à coup lorsqu'il faut parler sérieusement.

    Il se croyait vraiment seul. Il n'avait croisé personne sur le sentier, et d'ailleurs il ne voulait croiser personne. Si ce n'est son jumeau. Mais ça c'est impossible n'est-ce pas ? Pourtant... Pourtant, il crut apercevoir des mèches bleutés hors du sentier. Il crut apercevoir un corps perdu dans les herbes et les fleurs. Non, il ne croyait pas, il le vit. Il vit un corps, des cheveux bleus attaché en un chignon sur le haut du crâne alors que deux mèches ondulaient gentiment autour de son visage. Un sourire éclaira la visage de T'Ien-Khuan. Tu étais là. Il n'arrivait pas à y croire. Était-ce vraiment possible cela ? Il remercia un Dieu en quel il n'avait aucune conviction et se précipita vers son reflet en de grands pas avant de se baisser pour entourer de ses bras fort ton corps. Il n'avait pas su se retenir. Il te serrait fort. Sa tête se posait sur ton dos. Il s'appuyait sur toi, sûrement à t'en faire tomber. Mais tu sais, il ne pensait jamais te revoir, et surtout pas dans ces conditions là.

    « Mon Dieu Lie ! Tu pourrais répondre quand j'essaye de t'envoyer une lettre! Espèce de débile ! J'ai cru.. Que tu étais mort ou je ne sais pas quoi moi ! Tu ne peux pas savoir comment je me suis inquiété ! Ne me fait plus jamais des frayeurs pareil ou tu me retrouves à la morgue ! » Avait-il à une vitesse folle, se perdant dans ses mots. Il ne t'avait lâché qu'à la fin de son mini-discours et s'était redressé comme si d rien était, époussetant simplement son pantalon. Il s'en fichait bien de t'avoir fait peur, et en fait, il espérait que tu n’aies pas eu peur. Non parce que sinon, tu étais capable de lui en vouloir à vie et franchement, il n'en avait aucune envie. C'est bien pour ça qu'il eu la bonne conscience de s'excuser un peu, tout de même... Pour pas que tu lui en veuilles encore.

    « Qu'est-ce tu faisais là ? » Demanda-t-il en avisant les fleurs dans ta main ; « C'est pour qui ces fleurs ? » Lui jaloux ? Mais de quoi voyons ? Il n'avait aucune raison de l'être et pourtant... C'est vrai, qu'un peu de jalousie pointait le bout de son nez lorsqu'il te vit avec ces fleurs dans les mains. Parce que tu le fuyais lui, mais tu cueillais des fleurs... Alors il en déduisait que ce n'était pas pour lui, ça c'est sûr, et il ne pensait sûrement au fait que ce soit pour toi. Bah... Il est con hein, c'est la vie.

    As-tu remarqué juste une chose ? Il agit, comme si rien ne c'était passé, impassible aux événements du passé. C'est un impression.
    « J'ai toujours dit.. Non rien. » ♪
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Lie-Wei Wu

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« Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ Empty
MessageSujet: Re: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ EmptyJeu 1 Nov 2012 - 20:42

« Veux-tu m'épouser ?~ ♥ »

« Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ Rp310

« Il n'y aurait pas de bonheur si le malheur n'y avait aidé. »

Il avait longtemps couru ce jour là, celui de votre premier rendez-vous. Il avait parcourut une bonne partie de la ville en réfléchissant à tout et à rien mais surtout à tout ce qui c'était passé à cause de lui. Le dossier en main et les larmes aux yeux, c'est avec des sursauts de surprises que les citadins le regardaient courir le long des rues et avenues. Puis le soir couchant il était retourné à la caserne. Ayant maintenant un bâtiment propre à ceux de son grade, il ne devait rendre des comptes à personnes, sauf peut-être à son général, mais il n'aurait pas à se justifier. Après tout, il avait eu sa journée libre, donc il avait fait ce qu'il voulait. Quoi de plus normal ? Et en plus, il était rentré trois quart d'heure avant le couvre feu, alors là, rien à dire ! Mais dans sa tête, pleins de choses le travaillaient encore. Sa semaine serait signée sous le signe du tracas.

Son réveil venait de sonner. Aux aurores comme tous les matins, mais aujourd'hui, Samedi, Il allait enfin pouvoir s’oxygéner comme il en rêve depuis une semaine déjà. Aujourd’hui, notre jeune militaire pas très futé avait prévu de sortie en forêt pour remettre de l'ordre dans ses pensées. Et puis même si ça ne marchait pas, il pourrait toujours profiter de l'air pur et du calme des alentours. C'est alors avec une joie non dissimulée qu'il partit profiter de la nature. Il commença alors à marcher, sans destination précise. C'était toujours mieux de pouvoir laisser faire le destin parfois, de se laisser surprendre par la vie et par ce qu'elle nous réserve.

Il longea donc un sentier quand il s’arrêta. Pas de fatigue, mais une envie parmi d'autre. Il s'allongea dans l'herbe encore fraîche et écouta un long moment les oiseaux chanter. Il était tout simplement bien comme ça. Puis en tournant la tête sur le côté, il remarqua des fleurs, et il décida d'en faire un bouquet. Non il n'avait pas dix ans. Non il n'avait pas des envies destructrices envers la nature mais ces fleurs, aux pétales si douces et légères, et surtout d'un beau bleu rappelant le ciel d'été, ne pouvaient que lui faire penser à son frère, T'Ien-Khuan. Pas qu'il n'y pensait pas, au contraire, le jeune-homme hantait la moindre de ses pensées, mais sur le moment, il aurait aimé qu'il soit là à partager ce moment de sérénité avec lui, même si il le savait pas très enclin à ce genre de moments, pas qualifiés de romantique mais comment dire … Presque ! … Bref, Lie-Wei aurait juste voulu que son frère jumeau soit avec lui, sans avoir à penser au pourquoi du comment de leur passé. Mais il ne se doutait pas de ce qui allait arriver.

Alors qu'il était absorbé par la composition de son bouquet, Lie n'entendit pas tes pas se rapprocher de lui et c'est dans un sursaut qu'il répondit à ton étreinte. Ça, pour être une surprise, ça en était une ! Oui, tu lui avais flanqué une sacrée frousse ! Mais si c'était toi, jamais il ne t'en voudrait, pour quoi que se soit ! Parce que c'était toi ! Tout simplement ! Puis une fois relâché, tu lui posa milles questions. Enfin, pas tant mais quand même ! Tu connais Lie quand même, et tout d'un coup ben, c'est pas bon pour lui !

« Ta lettre ? Quelle lettre ? Je n'ai rien eu tu sais ? A la caserne le courrier est long à être distribué et beaucoup d'employé sont absents depuis quelques jours, le courrier n'est plus une priorité... »

Entre temps, tu t'étais relevé et Lie t'avait suivit. Il te regardait avant de répondre à la suite de tes propos. Ce qu'il faisait là ? Ben il profitait de l'air frais. Les fleurs ? Il les avait oubliées un court instant et il regarda ses mains avant de sembler comprendre de quoi tu voulais parler.

«Ben aujourd’hui j'ai un jour de libre alors bon, comme il faisait beau, j'ai décidé de sortir un peu... Comme toi apparemment. Et sinon pour les fleurs, je sais pas... Leur couleur m'ont fait pensé à la couleur de tes yeux alors, je les ai ramassées pour en faire un bouquet, tout simplement..Tu les veux peut-être ? … »

Lie-Wei te regarda encore une fois, heureux comme un fou que tu sois là mais sous la surprise, vous aviez oublié jusqu'à échangé un simple « bonjour, comment vas-tu ? ».


Dernière édition par Lie-Wei Wu le Sam 10 Nov 2012 - 17:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ EmptySam 10 Nov 2012 - 9:58

    « On a tous un jour, un truc sur le coeur... »

    « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ Tumblrlvyxhealm21qjw9qt


    Pour une fois qu'il avait fait un effort, voilà comment il était remercié : comme une merde ! Parce que lui, à chaque fois qu'il fait un effort, de toute manière ça ne marche pas. Il y a toujours un problème. Et là, c'était le courrier qui n'arrivait pas. Non mais ! Ils ne pouvaient pas se dire que c'était important ? Chose d'ailleurs qui n'est pas fausse, la lettre était importante. Après tout, le nom de Wu était inscrit dessus, ce courrier ne devait-il pas avoir la priorité ? Apparemment, non. Faire la guerre aux autres est tellement plus important. Nom de Dieu pour ne pas citer le Bouddha de tout les Bouddha.

    Il ne répondit pas, son regard se tenant sur les fleurs dans ta main. Tant que tu n'aurais pas parlé d'elles, il ne pourrait s'empêcher de les regarder et de se faire des films. Pour une femme ? Un homme peut-être ? Pour un amant quelconque ? Une cocotte ? Ce n'était pas possible. Il ne t'imaginait pas comme cela, à courir après le sexe ou même après l'amour. Non vraiment, pour lui tu étais différent de tout ça, de tout les autres. Il en est sûr et certain. Alors pourquoi être emprunt d'une certaine jalouse issue d'un sentiment dont il n'irait en aucun cas chercher la signification sous peine de tomber sur des choses auxquelles il ne veut pas croire. Mais pourtant, il était jaloux, on ne pouvait pas le changer.

    Mais ce que tu prononças le laissa vraiment sur le cul. Pour tout dire, il ne s'attendait pas à ce que ce soit à lui que tu penses en cueillant ces pauvres fleurs. Une joie immense l'envahit de nouveau alors que sans réponse à ta question, il attrapa le doux bouquet de fleurs, reniflant leur odeur avant d'éternuer légèrement. Vive les fleurs ! Il ne manquait plus qu'il y soit allergique ! N'importe quoi voyons. Un sourire embellissait ses lèvres alors qu'il embrassa ta joue pour te remercier de ces fleurs que tu lui avais en fait, que vaguement offertes. Mais pour lui, c'est normal de remercier ainsi son jumeau... Surtout pour cette attention alors qu'il s'en était trouvé jaloux quelques instants auparavant. Mais en attendant, il essayerait d'en prendre soin ( A noter que c'est assez dur pour la jeune personne qu'il est que de prendre soin de fleur, malgré son envie la plus grande ; il n'est pas super doué avec cela. Après tout, il oublie bien de prendre soin de lui-même).

    Puis finalement, il te força à t'asseoir en te tirant sur la manche alors que lui posait ses fesses sur l'herbe fraîche. Pour tout te dire, il avait beau faire semblant, le fait que tu l'aies ainsi laissé en plan au parc d'attraction le turlupine depuis. Et bien que vos retrouvailles soient mignonnes en plein, il ne pouvait s'empêcher d'aborder le sujet. Après tout ; au départ il n'était pas là pour cueillir des fleurs lui ! Quoi que, ce fut bien possible qu'il en ait envie. Mais passons. Lui, ce qui l'importait c'était de te comprendre. Même s'il savait très bien que, il aurait agit de la même sorte ; n'est-ce pas ce qu'il avait fait lui lors de votre première rencontre ?

    « Dis Lie... Je sais que ce n'est pas forcément le moment pour parler de ça mais, le fait que tu m'aies montré les dossiers, je pense que ça m'a fait du bien.. » Il baissa la tête en terminant ces paroles avant d'enchaîner. « Enfin, je veux dire que, la vérité m'aurait un jour sauté à la gueule comme un lion au cou d'une gazelle, tu vois ? Elle m'aurait complètement anéanti, tué. Je pense que, si je l'avais apprise de moi-même, hors de ce contexte, je n'aurais pas survécu au choc. Après tout, c'est apprendre que mon père m'aimait. Notre père nous aimait. C'est aussi apprendre que j'ai vécu dans un mensonge continu, que je me suis laissé avoir. Il faut dire que ces choses, ça tuent une personne non ? Une personne que l'on chérit, que l'on croit son Dieu. Une personne qui pour vous, même si on fait le mal vous pensez que c'est bien, une personne que vous respectez du plus profond de votre être et qui vous trompe... Ça m'aurait achevé. Net. Je pense que finalement, j'aurais préféré me pendre par les pieds, si j'avais eu le choix. Mais ça, c'est si j'étais seul. Puis, finalement tu m'es apparu. Tu veux que je te dise ? Depuis que tu es là, tu ne causes pas que le malheur ; regarde, je vis toujours. Tu as changé ma destinée. Peut-être même la tienne... Tu nous as aidés, tu m'as aidé. Je pense que sans toi, je ne serais plus là. Je pense alors que je ne t'aurais pas connu, que je n'aurais jamais su ton existence. Je pense que tout ça n'arriverait pas, que je ne serais pas là à te parler, assis près de toi, et en fait, je crois que j'aurais raté ma vie, si je n'avais pas connu cela... J'aurais fait mon aveugle, j'aurais continué à tuer jusqu'à ce que la mort vienne pour moi. Alors, laisse-moi te le répéter, encore une fois ; tu es la partie la plus heureuse de notre histoire, de la mienne. Tu es la plus belle chose qui ait pu m'arriver. »

    Il releva la tête vers toi, un petit sourire aux lèvres, la tristesse dans le regard. Il souriait pourtant. Oui. Il avait toujours son sourire aux lèvres, celui qu'il te faisait depuis que vous vous étiez rencontré. Doucement, il vint poser sa tête sur ton épaule, comme pour se réconforter, pour chercher de l'affection ; celle qu'il n'avait eu. Lui qui se pensait fort, il te montait chacun de ses points faibles sans les agrémenter de ses qualités. Quel idiot faisait-il.

    « ...à avouer pour aimer. » ♪
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MessageSujet: Re: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ EmptySam 10 Nov 2012 - 16:59

« C'est la vie, pas l'paradis~ »

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« Il n'y aurait pas de bonheur si le malheur n'y avait aidé. »

Il avait sourit. Et ce, pour la première fois de la semaine. Il souriait comme un idiot tout simplement parce que tu étais là, avec lui comme il le rêvait quelques minutes plus tôt. Toi ! Avec tes mimiques, tes états d'âmes et tout ce qui fait que c'est toi ! Il souriait parce qu’enfin il était heureux ! Fallait-il chercher une solution plus compliquée que celle-ci ? Pas maintenant tout du moins. Mais toi, tu semblais ne pas être là.. Tu fixais le bouquet dans sa main comme une chose pleine d’étrangeté voire même dangereuse et nocive... Tu n'aimais pas les fleurs ou quoi ? Pourtant, quelques secondes plus tôt, tu semblais ravi d'avoir recroisé la route de ton jumeau, alors pourquoi cette tête de six pieds de longs ? Et pour des fleurs ? Tu avais parfois l'esprit un peu trop imaginatif mon cher ! Tu ne pensais donc pas que ton frère pouvait penser à toi, et seulement à toi ?

Puis, la réponse qui te chamboula arriva et tu considéras alors les pauvres végétaux avec un intérêt tout autre. Tu les pris et une lueur passa dans tes yeux, le savais tu ? Une sorte de détermination, un défi personnel à relever. Tu sais, des fleurs, il faut juste les mettre dans un vase et voilà, pas de prise de tête non plus. Puis, comme toute personne avec un bouquet en main, tu voulu vérifié leur parfum mais sans succès pour toi, éternuant à leur parfum. C'est dommage quand même quand on sait que le bleuet à un parfum qui calme les esprits grincheux et la nervosité. Mais à cette cette scène, Lie-Wei ne pu s’empêcher de rigoler, en un rire doux et pur, cristallin et résonnant dans cet écrin de verdure où vous étiez seul au monde. Et comme tout, le moment cessa.

Tu l’entraîna dans l'herbe tendre à ta suite ou vous vous êtes ensuite assis, l'esprit pensif à une chose bien précise. Puis tu commença à parler et Lie à t'écouter. Ce que tu disais, il le comprenait, il te comprenait et voyait à présent pourquoi tu le considérais comme la part joyeuse de leur histoire, mais lui, il ne voyait pas les choses comme toi. C'est toujours mieux de voir en l'autre la perfection et en soit les fautes que l'ont accepterais jamais chez l'autre. Il voulu te dire que non, qu'il n’était pas la part heureuse comme tu le disais, que non il n'était pas la plus belle chose qu'il te soit arrivé. Et il le pensait sincèrement ! Pour lui, il était celui qui te remémorait tout ça contre ton grès, il était celui qui t'avais fait changé et qui te créait des ennuis. Il était aussi celui qui t'avait fait découvrir ses propres faiblesses et ça, combien d'hommes sont capables de les accepter ? Donc non, pour lui, il n'était rien de bien pour toi, même si pour lui, tu était un peu comme son ange gardien tombé du ciel.

Enfin, tu releva ta tête vers lui, un doux sourire dessiné sur tes lèvres mais tant de tristesse dans tes yeux. Pourquoi ? Il allait te poser la question, mais n'osa pas quand tu posa doucement ta tête sur son épaule. Pourquoi lui faisait-tu alors penser à un gosse perdu dans ses pensées se réfugiant dans les bras de sa mère pour oublier tout ce qui lui arrivait ? Peut être parce que tu étais à présent tellement pris dans tes sentiments que juste un court instant, tu voulais chasser tout ça de ton esprit et penser à autre chose. Alors, Lie te pris dans ses bras, espérant t'offrir le réconfort que tu cherchais et te berça lentement pensant à toutes les autres fois où vous auriez dû ainsi, si votre jeunesse avait été plus belle et heureuse, vous offrir l'amour et la tendresse dans vos moments de faiblesse et d'infortune. Il te serra alors un peu plus fort contre lui à ces pensées.

« T'Ien, excuse moi malgré les idées que tu as de moi d'être celui que je pense être. Je ne suis suis pas la plus belle chose qui te soit arrivé, tout du moins je n'y crois pas, même si de mon point de vu, je te considère de même. Je te rend triste, je le vois dans tes yeux et ça me blesse, énormément, parce que moi, j'aimerai te voir joyeux et même ton sourire n'arrive pas à me consoler du mal que je te fais à te remémorer toute cette histoire alors que tu vivais très bien sans moi et, et... Et je sais même pas si tout ce que je dis veut dire vraiment quelque chose mais pas grave. Je veux juste que tu saches que si une personne t'as détruit, que ce soit maintenant ou depuis notre naissance, c'est bien moi.»

Non, jamais il n'avait voulu dire ça, jamais il n'aurait pensé te contredire un jour sur ce que tu pensais mais il l'avait fait, ça le travaillait. Et se voir faire des éloges ainsi, quand on pensait ne pouvoir mériter que souffrances et malheurs, quand cela dure depuis toujours, c'est pas toujours facile à accepter. Surtout quand on s'appelle Lie-Wei. Mais peut-être un jour verra t-il ce que toi tu vois de lui, mais ça, c'est pas gagné !
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MessageSujet: Re: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ EmptySam 10 Nov 2012 - 17:52

    « On oublie jamais... »

    « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ Tumblrlvyxhealm21qjw9qt



    Non, il n'était pas d'accord. Pas d'accord du tout ! Pourquoi dire cela alors qu'il pensait tout le contraire ? Pourquoi donner une image aussi péjorative de ce que tu es alors que lui te voyait comme la meilleure chose au monde ? Non là, il ne comprenait pas, il ne voulait pas comprendre. A quoi bon ? Il était convaincu que tu n'étais pas le mal de sa rencontre, que sa tristesse était due à bien d'autres choses que toi et ta venue. Tu racontais n'importe quoi, à ses yeux tu étais ce qu'il y avait de plus magique. Mais comment te l'expliquer ? Puis, il pouvait dire la même chose lui ! Il n'était pas non plus la chose tombée du ciel dont tu lui avais parlé dans vos anciennes rencontres. N'importe quoi ! Non mais. Presque tu l'avais mis en rogne là, à dire ce genre de choses.

    Il n'arrivait vraiment pas à comprendre. Ses yeux roulaient sur toi, sur le sol, sur ses pieds puis sur les tiens ; Il réfléchissait, pour une fois, à comment tu pouvais penser ça. Ce n'était vraiment pas possible. Comme s'il était malheureux... A cause de toi. C'était un monde ça ! Ce n'était pas toi qui le rendait triste, c'étaient toutes ces choses accumulées, toutes ces choses blessantes auxquelles il pensait. Ce n'était que ça. Toi, tu étais là, tu le rendais heureux. Sinon, pourquoi t'aurait-il sauté dessus quand il te vit ? T'Ien-Khuan n'est pas du genre menteur, bien au contraire. D'une franchise sans retour, tu peux être sûr que si tu faisais son malheur, il te l'aurait dit. Mais oui. Tout de même, quelque chose chez toi le rendait triste ; tu ne croyais pas en lui, pas comme il le voudrait, et ça, ça le rendait vraiment triste.

    Il avait envie de te gifler, il avait envie de te frapper jusqu'au sang, il avait envie... Envie de te faire oublier ces paroles, il ne voulait plus jamais que tu dises cela. Mais en fait, il ne fit rien, ce n'était pas possible d'agir de toute manière ! A quoi bon te frapper ? Il savait très bien que les poings ne réglaient rien bien que ce soit de ça qu'il vive. Il le savait depuis le temps que les négociations musclées, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux. Puis autre chose l'en empêchait, un sentiment qui entravait chacun de ses gestes, ses paroles. Qui le laissait comme ça à te regarder, presque au bord des larmes. Parce que oui, il était au bord des larmes. Oui, il avait envie de pleurer. Il ne savait même pas pourquoi. Vraiment. Il ignorait pourquoi vouloir pleurer. Peut-être parce qu'il n'aimait pas cette façon que tu avais de te voir ? Non mais non ! Tu ne pouvais pas te voir comme ça, c'était pas possible. Vraiment pas possible. Alors, il prit son courage à deux mains, il te regarda, ses yeux bleus se plongeant dans les tiens pour y laisser couler un regard plein de sentiments. Tellement de sentiments. Il fut en mode poisson rouge quelques instants. Il ne savait pas quoi dire. Il ouvrait et fermait les yeux, comme … Gêné. Il avait même rougit pour tout dire, puis te regardant de nouveau, il prit sa respiration avant de dire ;

    « Malheur ou bonheur, quelle importance ? Je ne te vois pas comme ça, je ne te verrais jamais comme ça. Tu peux dire ce que tu veux, comme tu veux, dans toutes les langues que tu veux ; jamais tu ne seras mon malheur. Tu ne m'as pas détruit. Arrête de mentir. S'il te plaît. Tu le sais très bien, que tout cela n'est pas de ta faute, ne fallait-il pas que ça arrive un jour ? Et bien voilà, c'est arrivé. Ca passera, comme toutes les autres choses qu'on a sûrement due surmonter chacun de notre côté, sauf que cette fois, on est ensemble. Ensemble, et pour toujours. Puis, merde. Tu peux penser ce que tu veux de toi... Moi, je t'aime. Je t'aime comme ça, comme tu es. Heureux, malheureux, plein de larmes, tout sourire. Avec ton idiotie, avec tout ce que tu peux avoir. Je t'aime tout entier. Je crois que je t'aime depuis toujours. Je ne sais pas pour toi, je ne veux pas savoir. De toute manière, que ce soit oui ou non, je serais heureux. Heureux d'avoir pu te dire cela comme je te l'ai dit. Je t'aime, et c'est bien pour ça que tu ne me forceras pas à te voir comme tu te décris, Lie-Wei.»

    Il se mordit la lèvre, il remonta légèrement la tête vers toi, hésita quelques instants avant de sceller vos lèvres. Il ferma les yeux, il profita de ce moment. Ses mains se posèrent sur tes bras, comme pour par que tu l'en empêches, pour pas que tu le gênes dans ses gestes ; il ne voulait pas ça, il ne voulait vraiment pas que tu le repousses... Oui, il te forçait à l'embrasser. Il te forçait à garder ses lèvres sur les tiennes, juste quelques instants. C'était un baiser des plus chastes, il n'avait fait que cela, t'embrasser lentement. Puis, il sépara vos lèvres doucement, gardant la certaine proximité de vos visages pour te souffler encore une fois qu'il t'aimait, bien plus encore que ce que tu pouvais imaginer

    Il n'attendait pas ta réaction qu'il reprit tes lèvres, pour cette fois t'embrasser de façon plus langoureuse. Il n'avait jamais fait ça mais avait l'impression que cela venait naturellement. Il passa sa langue entre tes lèvres pour aller jouer avec sa jumelle. C'était la première fois. C'était avec son frère... Son jumeau. Ca pouvait être mal vu, tellement. Mais il s'en foutait. Il t'aimait et ne pouvait te le montrer que par les gestes si tu ne voulais comprendre la parole. Alors qu'il mêlait vos langues, doucement, il passa une main dans tes cheveux d'un bleu azur pour défaire l'élastique qui les emprisonnait, ainsi, une cascade bleuté descendit sur tes épaules alors que T'Ien-Khuan, la main plongée dedans, t'embrassait jusqu'à en perdre haleine. Ce fut à ce moment là qu'il lâcha enfin tes lèvres. Il n'osa pas te regarder, rouge de honte. Tellement honteux... Mais pourtant si heureux, comme délivré d'une chose si lourde. Il posa sa tête sur son épaule, et comme s'il avait fauté murmura une excuse. Excuse qu'il ne pensait pas.
    « ...ce qu'on était. » ♪
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Lie-Wei Wu

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MessageSujet: Re: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ EmptyDim 11 Nov 2012 - 12:11

«Le cours d'une vie peut parfois vite changé~ »

« Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ Rp310

« Il n'y aurait pas de bonheur si le malheur n'y avait aidé. »

Ta tête sur son épaule, le jeune homme n'osait bouger. A vrai dire, il ne s'attendait pas à ça. Jamais il n'aurait cru ça, mais vraiment. Comment aurait-il pu ? N'était-ce pas un rêve ? Une légère brise glissa sur eux, la chevelure azur, à présent détaché, du jeune militaire suivit le rythme du vent en battant sans grande force son dos. Non, il n'avait donc pas rêve. Tu n'avais pas à t'excuser tu sais ? On ne s'excuse pas pour les choses venant du cœur. Il repensa alors à ce qui venait de ce passer, l'esprit plus calme et plus réfléchit. Tu lui avais fait ta déclaration. Il avait été ému, vraiment, et dans tes yeux, il avait alors vu tout ce que tu essayais de lui faire comprendre. Tes yeux, jamais il ne les avait lâché. Puis, tu t'étais alors approché de lui, doucement, sans aucunes once de brutalité ou autre, juste de la tendresse et, de l'amour ? Oui, c'est ça qu'il avait ressentit dans ce chaste baiser de l'amour. Tu sais, il ne serait pas partit en courant, même si tu n'avais pas posé tes mains sur ses bras. Au contraire, il avait frissonné à ce contact. Rien d'énorme, juste quelque chose de léger mais à le pouvoir de faire battre un cœur à mile à l'heure ! Puis tu a rompu le baiser, en reprenant un, bien plus sur de toi, sur de ce que tu voulais, malgré ce que je pourrais te dire ou te faire. Tu l'avais embrasé avec passion, une passion tellement forte et belle qu'il en était encore tout chamboulé. Il avait alors compris le sens de l'expression « avoir des papillons dans le ventre ». L'instant de ce baiser, le temps s'était arrêter et autour de lui, plus rien n'existait, sauf vous deux. Puis une fois de plus, la magie du moment du s'arrêter et on en revenait à maintenant. Ta tête sur son épaule, ni lui ni toi ne bougeaient à présent. Et pourtant, il allait bien falloir dire quelque chose. Mais ça c'était une autre histoire.

Lentement, Lie-Wei passa sa main sur ta joue et dans un tendre geste, il te força à le regarder. Tes yeux dans les siens et les siens dans les tiens. En ce moment, il te trouvait beau. Il n'avait pas le droit de penser ça, ou alors, pas de cette manière là, mais après tout, à quoi bon maintenant ? Certes tu était son frère, son jumeau mais ça depuis quand ? Depuis seulement leur rencontre au coin d'une rue. Pour Lie, tu étais un homme, un homme à part entière et cet homme là, son cœur avait décidé de le chérir et de l'aimer. Le frère que tu étais passant presque après. A cette pensée, un léger sourire parcourut ses fines lèvres. Il n'avait pas lâché ton regard.

« T'Ien... » Sa voix ne pouvait être plus douce qu'à cet instant précis. « T'Ien, maintenant, regardes moi, dans les yeux, comme là, et dis moi que tu t'excuses vraiment pour ce que tu as fais. Regarde moi et jure moi que ce n'est pas ce que ton cœur désire. Regarde moi et dis moi encore une fois que tu m'aime, autant que moi je t'aime. »

Que tu ais eu le temps ou non de comprendre ses paroles, Lie s'approcha de toi, son visage peint de rouge. Lorsqu'il sentit à nouveau ton souffle sur sa joue, il frissonna de nouveau, appréciant cette caresse qui n'en était pas vraiment une. Puis il captura tes lèvres, avec une douceur que lui même ne se connaissait pas. Il apprécia encore quelque peu le moment avant de t'emporter maintenant dans un baiser plus profond, plus amoureux ou tous ses sentiments, il l'espérait, dans cette douce valse, arriverai à te parvenir. Ses mains à présent autour de ton cou, il ne te lâcha pas. Même lorsque l'étreinte fut terminée. Il déposa alors sa tête au creux de ton épaule et dans un murmure, il te redis ces mots, ces même mots dit quelques minutes plus tôt.

« Je t'aime. »
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MessageSujet: Re: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ EmptyDim 11 Nov 2012 - 13:36

    « L'amour nous fait oublier... »

    « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ Tumblrlvyxhealm21qjw9qt


    Il n'avait pas eu le temps de dire quoi que ce soit, qu'il sentit de nouveau tes lèvres sur les siennes. Il aimait tellement ce contact qu'il ne chercha pas à le rompre pour répondre aux questions. Ca pouvait attendre. Il préférait ressentir tout l'amour de ce moment là, tes lèvres contre les siennes, cette respirations qui se saccadaient légèrement par le manque d'air, une suffocation jouissive, un plaisir fou à manquer d'air, à mourir asphyxié pour ressentir tout un amour enfouit. Oui, il aimait t'embrasser et le bien que ça lui procurait. Comment dire ? Des frissons lui parcouraient entièrement le corps, quelque chose lui tordait l'estomac mais d'un autre côté il avait l'impression d'avoir besoin de cela, de ressentir tout ça ; pour se rassurer, se dire que ses sentiments sont partagés, que l'amour est là, et bien là.

    Il avait bien entendu lâché tes bras pour laisser ses fines mains glisser dans ton dos qu'il caressait doucement, dans un geste doux et plein d'amour alors qu'il avait posé sa tête contre la sienne, un sourire béat aux lèvres. Il n'arrivait pas à croire que tu venais à ton tour de lui dire que tu l'aimais, ce n'était pas croyable pour lui que de savoir cela. Bien qu'il espérait du plus profond de son cœur, il ne s'attendait pas à ce que ce soit vraiment réciproque. D'un certain côté, il n'aurait pas voulu que ça le soit. Comment expliquer la chose ? C'était immoral. Tellement que de porter de l'amour à son jumeau. Il n'avait pas le droit de sentir son cœurs battre à cent mille quand il était là, il n'avait pas le droit de penser que c'était la créature la plus belle qui puisse avoir, il n'avait pas le droit non, d'avoir envie de son frère, de le désirer plus que tout autre chose. Puis, c'était son jumeau ! Il lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, n'était-ce pas une forme de perversion que d'être amoureux de son reflet ? Que d'aimer une personne qui est comme soi ? Mais, malgré tout, il t'aimait et on ne peux plus rien y faire.

    « Tu me tortures. Tu es le pire des tyrans... » Murmura-t-il, remontant sa main dans tes cheveux qu'il nouait doucement entre ses doigts. Vous étiez comme de fleurs écloses au milieu d'un pré. Deux fleurs d'un bleus étonnant. Saviez-vous que le bleu est couleur de pureté dans le langage végétal ? Et pourtant, vous n'avez rien de pur. Même pas votre amour. Mais voilà, on ne pouvait changer la chose. « Tu m'as hanté alors qu'on ne s'était pas encore rencontré, et maintenant que je te connais, cela a empiré. Je ne savais plus quoi faire, à chaque fois que je fermais les yeux, je te voyais. Pourtant, la première fois que l'on s'est vu, j'avais envie de te tuer comme on pouvait chasser le pire des gibiers. Je croyais mourir à chaque fois que je te voyais depuis cette première rencontre. Je me persuadé d'une haine impossible, mais je sais que quand on haït, on ne sent plus son cœur. Et là, tout le contraire se produisait. Sans le savoir, tu m'as maltraité, tu m'as fait me torturer l'esprit. Un coup de foudre. Je n'y croyais pas, je n'y croyais plus. Et pourtant ! Regarde-moi ! Si tu me le demandais, je ferais tout ce que tu veux. Je suis un esclave. L'esclave de l'amour, celui que je te porte, que je porterais toujours. Cet amour qui était présent bien avant de te voir ; une fascination que j'avais pour toi qui m'a mené à cacher mes sentiments à moi-même. Je te le redis, encore, et encore, autant de fois qu'il te le faut pour que tu en sois convaincu ; je t'aime. Je t'aime du plus profond de mon être, de mon âme. Je t'aime comme je n'aimerais plus personne. »

    Dans cette déclaration passionnée, il avait oublié les fleurs qui après être tombées de ses mains s'étaient éparpillées entre vous, finissant à moitié détruite, quelque peu écrasées d'un amour passionné, perdues sous le poids de deux êtres plein de sentiments, chose trop lourd pour elles. Elles sont à l'origine de tout, et voilà qu'elles se retrouvent à écraser doucement le sol, à le joncher tel des cadavres insignifiants. Sont-elles le signe d'un avenir possible ? Où est-ce simplement la négligence et l'oubli qui les rendirent ainsi ? Tout cela pour dire que le pauvre n'avait pas tenu son pari. En espérant que son amour dure bien plus longtemps.
    « tout ce à quoi on pensait. » ♪
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MessageSujet: Re: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ EmptyDim 9 Déc 2012 - 11:19

«Je t'aime, c'est si grave ? ~ »

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« Il n'y aurait pas de bonheur si le malheur n'y avait aidé. »

Front contre front, vous restèrent un petit moment comme ça. Pour rien au monde Lie aurait voulu se détacher de toi. Sentir ton souffle sur sa joue, tes caresses dans ton dos et ses cheveux lâchés. Il était bien, si bien que le temps lui semblait arrêté. Puis une brise plus fraîche que les autres les frôla et un frisson de froid parcourut Lie. Alors comme un enfant, il se mit contre toi dans tes bras attrapant une de tes mèches bleues avec laquelle il jouait, la mêlant à une des siennes parfois. Les deux se perdant et se mélangeant l'une avec l'autre dans une unité parfaite et incroyable. Un soupir de pur bonheur s'échappa de ses lèvres alors qu'il réfléchissait à tes dernières paroles. Il se serra un peu plus contre toi, profitant de ton odeur encore et encore. Alors, dans une voix plus sure qu'il ne se l'était imaginé, il te répondit, ne sachant même pas ce qu'il allait dire. Dieu, pourvu que cela soit compréhensible !

« T'Ien, Si je dois être ton tortionnaire, je préfère nettement que ce soit dans ce sens là des choses. On est peut être frère mais juste de sang et d'apparence. Certainement pas de cœur et de passé. Toi, tu connaissais mon existence. Même salie, tu savait que j'étais quelque part dans les environs. Certes tu ne savais pas qu'on m'avait forcé à rejoindre l'armée, que comme toi, je risquais ma vie sans cesse pour une lutte qui nous importe peu mais tu savais que j'existais. Quand je t'ai rencontré, imagine qu'elle fut ma surprise. Mais même si je n'y croyais plus, j'ai senti ce soir là, mon cœur battre d'une manière que je ne connaissais pas. Ce n'était ni la peur, ni l'angoisse, ni même la surprise. C'était autre chose, qui m’empêchait de dormir le soir, de réfléchir posément le jour. Et ce quelque chose, je sais à présent ce que c'est. Je suis peut être un peu bête et pas toujours très futé mais j'ai bien compris que si mon cœur bat à cent à l'heure quand je te vois, que mon estomac se noue à chaque fois que je croise ton regard et que mes mains frissonnent à chacun de tes contacts, c'est bien que, même si je me le refuse, je suis tombé amoureux de toi comme je ne croyais jamais cela possible. T'Ien, je t'aime, comme un fou ! »

Des mots, beaucoup de mots. Sûrement venais-tu d'entendre pour la première fois autant de mots sortir de la bouche de Lie-Wei. Mais rassure toi, ça vient du fond du cœur ! Et même plus. Si tu savais comme sa sincérité est vrai et pure. Crois le, même si ce qu'il dit est un peu bidon et beaucoup nunuche.

Se rendant compte de la même chose, les joues rouges par cette déclaration, il baissa la tête et fixa vos pieds. Le regard vague, il regardait l'herbe quand des tâches bleues l’interpella. Ces tâches comme il disait n’étaient rien d'autre que les fleurs qu'il avait précédemment cueillit. Il sourit. Après tout, si tu y tenait tant à ces fleurs, il pourrait toujours t'en cueillir pleins d'autre, le bout de verdure où ils étaient en regorgeait après tout. Son regard s'arrête cependant sur une. Une rescapées. Une encore parfaite cachée sous les autres. De bout des doigts, il l’attrapa comme une chose fragile et précieuse. Une fois dans ses doigts, il la regarda encore un peu, appréciant sa couleur et la pureté des courbes des pétales parfaits. Puis comme une évidence, il la glissa dans la paume de main qu'il avait pris et referma tes doigts dessus. La fleur à peine ouverte était un peu comme vous, comme votre amour. Pur, naissant, fragile, et surtout beau, même magnifique. Le bourgeon à coté de la première promettait un amour infini et toujours prêt à fleurir. Deux fleurs issues d'une même tige. Elles sont jumelles et ensembles jusqu'à leur mort. Vous êtes jumeaux et unis pour l'éternité.

A ton oreille, il te répéta un doux « je t'aime » ne réalisant qu'à peine que tu venais de changer définitivement sa vie.
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MessageSujet: Re: « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬   « Qui a dit que le jour se coucherait un jour ? » | PV LWW. ♥ ▬ Soupçon de bisousbisous. ♥ ▬ Empty

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